lundi 16 décembre 2013

travail des femmes en dehors de la maison

 travail des femmes en dehors de la maison

Principaux domaines de travail des femmes en dehors de la maison en général et la Malaisie en particulier : l'accès des femmes à coût qualifiée scientifique , de la vie élevé , le rôle des institutions politiques et économiques qui ont assuré des possibilités d'emploi et de préconiser pour les femmes d'aller travailler afin d'améliorer le niveau de leur contribution au développement économique
L'objectif de sortir du travail est devenu un moyen de réalisation de soi , et gagner de l'argent , et d'élargir le champ des relations sociales
Les effets positifs du travail des femmes en dehors de la maison : aider au développement du pays , contribuant à une augmentation des revenus , de participer à la charge financière pour la paire
Les effets négatifs du travail des femmes en dehors de la maison : les effets attribuables à un des composants du père de famille, la mère et les enfants , les effets de retour de la femme elle-même , en revenant aux effets d'un conjoint , divorce
Pour parler du travail de la femme, il faut tout d’abord préciser qu’une femme exerce déjà une fonction au sein de la maison. En effet, quand elle est « femme au foyer », elle s’occupe de la gestion de son ménage et cela nécessite la mobilisation, à temps plein, d’un certain nombre d’aptitudes, et de capacités que seule une ménagère peut avoir. Signalons au passage, que dans certains pays développés comme l’Allemagne par exemple, une ménagère perçoit un salaire parce qu’elle est considérée comme une employée à domicile


Mais le débat qui oppose les partisans aux détracteurs dans la question du travail de la femme, s’intéresse plutôt, au travail de la femme à l’extérieur de la maison. Les premiers y voient desavantages alors que les autres n’y trouvent que des inconvénients. Alors qu’en est-il de cette fausse problématique, car en réalité, la femme travaille et ne cessera pas de travailler, et ceci va dans l’ordre établi aussi bien par ceux qui prônent une égalité des chances que par ceux qui réclament un respect d’une tradition désormais controversée.
L’éducation des filles a toujours posé problème. Chez les grecs déjà, la femme ne bénéficiait guère du statut de citoyenne. L’époque antéislamique a connu l’infanticide des bébés filles ; une fille était considérée comme un déshonneur pour sa famille. Sans entrer dans les fondements de cette croyance, soulignant qu’il y avait là, une contradiction tout de même logique. En effet, c’est l’abolition de l’inceste, d’après Levy Strauss qui aurait conduit à la transformation progressive d’une société qui vivait sous l’ordre naturel en une autre dite société de culture. Le mariage entre différentes tribus aurait conduit à l’enrichissement des cultures, à l’épanouissement des civilisations, au progrès des humains. Toujours est-il que la femme, même considérée comme monnaie d’échange, était le vecteur de ce progrès. Où résiderait la contradiction alors ? Il est clair que l’homme qui vivait sous ce régime, infanticide, ne faisait que répondre à l’instinct animal où le mal dominant, à l’exemple du lion, commence d’abord par éliminer ses futurs rivaux, en tuant ses propres bébés mâles. Dans un régime de nature, la pratique devait être identique. Or, l’abolition de l’inceste, ayant mis fin à cette hégémonie sociale, aurait sans doute rendu la présence des


Si le travail de la femme lui procure des bienfaits, il peut être aussi source de tracas.En effet, les postes qu’occupe une femme demandent un investissement de tous les instants. Qu’elle soit enseignante, médecin, infirmière, standardiste, secrétaire, avocate, ou ouvrière, la femme se dépense dans son travail et accumule un grand stress en fin de journée. Or, à la différence du jeune homme qui trouvent l’occasion de se ressourcer après le travail, en allant prendre un petit café avec les copains, en autres, la jeune fille, quant à elle, elle ne pense qu’à rentrer à la maison. Ce choix qu’elle fait provient de plusieurs causes. Premièrement, dans la société encore conservatrice, la jeune fille doit rendre compte à ses parents de son retard, et plus tard, à son mari. Deuxièmement, il n’y a pas d’espace qui respectent les spécificités des femmes et qui leurs favorisent des détentes en harmonie avec leurs goûtes et psychologies. Dans le meilleur des cas, elles se retrouvent dans les cafés avec les hommes, et finissent par prendre l’habitude du café et du tabagisme, ce qui loin de les ressourcer, ne fait que les tresser davantage. Enfin, plus la jeune fille reste dehors, plus elle est exposée aux dangers que représente l’espace urbain.


Un autre souci vient ternir l’éclat du travail de la femme. Il ne faut pas oublier qu’elle doit entretenir une image de marque qui reflète la réussite sociale que représente son travail d’où les dépenses en habits, en coiffure, maquillage et parfum. Ceci épuise son budget, et souvent quand elle fait ses calculs, entre une la cotisation familiale, les déplacements, et l’entretien de cette image de marque aussi simple que soit-elle, elle ressort avec un seul constat : elle ne vit que pour travailler.

Enfin, il est à noter que si le travail constitue pour la jeune femme un atout dans la question du mariage, il peut aussi, dans certains cas, devenir un handicape, notamment quand la jeune-fille s’investit dans une carrière de recherche, comme dans le cas de la médecine ou les études doctorales en générale. Ces jeunes femmes chercheures dépassent souvent une certaine limite d’âge tolérée dans le milieu traditionnelle, et se retrouvent ainsi dans célibataires. Notons parfois, qu’elles en font le choix dès le départ, pour pouvoir assurer une carrière de chercheure sans aucune contrainte. Le cas des universitaires algériennes est probant dans ce sens


Quand la jeune fille travaille, elle représente certes une fierté et un soutien pour sa famille. Certes, les inconvénients dans ce cas paraîtront de l’ordre de l’affectif, ou dirons-nous du subjectifs, mais il importe de les citer parce qu’ils peuvent dans certains cas peser dans la balance. Toujours est-il que cette dont la carrière a aboutit, elle constitue en quelque sorte un souci dans la mesure où ses parents ne pensent plus qu’à la « caser ». Le fait qu’elle sorte du domaine sécurisant des études, les plonge dans des angoisses au quotidien. Leurs inquiétudes ne s’apaisent que lors qu’elle regagne le foyer.

Les parents commencent à soucier des fréquentations de leur fille. Ils ont de plus en plus la volonté de sauvegarder sa bonne réputation, qui va des leur.
Les projets de mariage commencent à se former, et les parents partagés entre le désir de garder leur fille et le souhait de lui garantir une vie convenable, ne savent plus où donner de la tête. C’est un dilemme où il faut trancher. Jouir du enfin, des fruits de leurs labeur, non pas dans un sens matériel même si ce côté trouve sa raison d’être, mais c’est surtout, la paix d’avoir réussi à conduire à bien une enfant dans un milieu où la concurrence masculine est encore rude. 

En réalité les parents n’ont pas formé un projet de mariage, mais plutôt à choisir un bon mari parmi ceux qui commence à se présenter. Le travail de la jeune fille étant devenu un atout dans cette quête de l’épouse idéale, le départ précipité des jeunes filles constitue donc pour les parents autant un motif de soulagement qu’un sujet
 de désolation. Et autant leurs hâte est grande de voir leur fils fonder un foyer et se libérer du giron maternel, autant leur fille reste un bébé qui a dû être sevré avant terme.








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